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Immobilier à Paris : les prix s’envolent dans certains quartiers

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Tous les professionnels de l’immobilier sont cette fois unanimes, le marché français, neuf et ancien confondus, reprend des couleurs. Entre taux de crédit immobilier au plancher, PTZ bonifié, loi Pinel prisée… les conditions sont réunies pour acheter ou investir aux meilleures conditions. Et qui dit attractivité du marché dit bien souvent hausse des prix. C’est le cas de l’immobilier à Paris, où certains secteurs explosent plus que d’autres.

+2% pour les prix de l’immobilier à Paris


Les prix des appartements anciens parisiens ont subi une hausse de 2% fin mai 2016 en comparaison de la même période en 2015. La tendance dans la capitale se détache de celle observée dans le reste de la région. En Ile-de-France, le coût de l’immobilier a globalement stagné sur le dernier trimestre. Une note de conjoncture des notaires datée de juillet 2016 parle de « quelques tensions » dans les départements les plus onéreux de la zone. Mais le marché reste majoritairement très attractif.  

Hausse des prix de l’immobilier à Paris généralisée


Selon le site MeilleursAgents, les prix ont augmenté de 0,5% à Paris entre mai et juillet. En détails, les grandes surfaces affichent une hausse de +0,6% alors que les studios et T2 ont vu leur coût augmenter de 0,4%. Mais ces pourcentages restent des moyennes.


En effet, dans certains secteurs, les prix de l’immobilier à Paris se sont bel et bien envolés. Pour le premier trimestre 2016 et en comparaison de la même période en 2015, on observe :


•    +3,2% dans le 6ème arrondissement
•    +5% dans le 7ème arrondissement non loin des Invalides et de l’École Militaire (11 760 euros le m²)
•     +8,6% dans le 1er arrondissement (10 710 euros le m²)
•    +11,2% dans le quartier des Halles (1er arrondissement)


A contrario, le 8ème arrondissement affiche un recul de -2,1%.

Comment expliquer la hausse des prix de l’immobilier à Paris ?


Il est étonnant de constater que les plus fortes augmentations des prix de l’immobilier à Paris ne sont pas recensées dans les secteurs les plus chics (6ème, 7ème et 8ème arrondissements). Fabrice Abraham, président du réseau d’agences immobilières Guy Hoquet explique que les « 1er, 2ème, 3ème et 4ème arrondissements sur lesquels ne se réalisent que peu de transactions à l’année plaisent toujours énormément. Les prix sont tirés vers le haut en raison d’une forte demande et d’une faible quantité de biens disponibles ».

 

Source : La Vie Immo et base BIEN des notaires franciliens

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