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Quelles tendances pour les prix de l’immobilier cet automne ?

Mis à jour le 0 Prix de l'immobilier
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Les prix de l’immobilier en France font le grand écart. Alors que les grandes villes comme Lyon ou Paris s’illustrent par une hausse atteignant les 4% depuis le début d’année, les communes rurales sont à la traîne. Elles voient leur marché immobilier figé et les prix baisser toujours davantage. Dans ces conditions, il est plus que jamais important d’étudier avec soin la zone choisie pour son achat immobilier afin d’anticiper une attendue plus-value immobilière.

Tendance globale des prix de l’immobilier en France


Une récente étude de MeilleurAgents.com révèle que les prix de l’immobilier ont continué leur hausse ces derniers mois dans les grandes villes de France, Paris en tête. Cette augmentation est moins observée dans les villes moyennes, alors que les villes peu attractives voient la chute des prix perdurer.

Une hausse des prix de l’immobilier expliquée


Selon MeilleursAgents, las taux de crédit immobilier au plancher expliquent à eux seuls la hausse des prix dans les grandes villes. En effet, avec des taux sur 20 ans passés de 2,5% en janvier 2016 à 1,6% actuellement, les ménages français ont largement gagné en pouvoir d’achat (10% en moyenne). Il reste évident que cette conjoncture profite uniquement aux ménages solvables.

Ces villes où les prix de l’immobilier augmentent


Sébastien de Lafond, Président de MeilleursAgents scinde la France en quatre grands groupes aux évolutions des prix de l’immobilier distinctes.

La première zone est composée de villes dynamiques dont les prix ont augmenté de +2,5 à +4% depuis le début d’année. Ces villes sont Bordeaux, Lyon, Nantes et Paris qui attirent de plus en plus de foyers mais également d’entreprises.

La seconde zone observe elle-aussi une hausse des prix, mais plus modérée (jusqu’à +2%). Elle est composée de Lille, de la Petite Couronne parisienne et de Toulouse.

Ces villes où les prix de l’immobilier baissent


Au contraire, la troisième zone voit ses prix baisser légèrement. C’est le cas à Nice, Marseille, Strasbourg, Montpellier et dans de nombreux départements de la Grande Couronne parisienne. La demande est plus faible que l’offre. Une offre qui se veut souvent trop exigeante et qui peine à trouver preneur.

La quatrième zone, enfin, est composée des petites villes de province et des communes rurales qui voient leur prix chuter à quelques exceptions près.

Dans ces conditions, s’interroger sur la valorisation de son patrimoine à long terme est indispensable avant de se lancer dans un achat immobilier. Encore davantage si l’idée est d’acquérir sa résidence principale pour la revendre dans quelques années et espérer une belle plus-value-immobilière.

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